REMPLIS D’ESPRIT SAINT
si nous recevons l’Esprit Saint, c’est pour que, reconnaissant la grandeur de l’être humain, nous recevions la compréhension des mystères de notre propre vie. Ainsi pourrons-nous aimer pleinement Dieu et notre prochain. Car vivre c’est aimer !
Édouard Shatov, Éditorial du dimanche 31 mai 2020
Vivre l’amour et le pardon
Impossible de penser que notre Père du ciel pourrait ne pas nous pardonner. Déjà l’Ancien Testament avait parfaitement mis en lumière que le pardon de Dieu précède même notre repentir ; car en Dieu le pardon n’est pas un acte ponctuel, c’est son être même. Dieu n’est que don et pardon. La caractéristique de la miséricorde, c’est de se pencher encore plus près des miséreux, et miséreux, nous le sommes.
Marie-Noëlle Thabut, Commentaire de l’Évangile du dimanche 31 mai 2020
Jésus est avec nous
Nous portons dans le cœur un désir de grandir, de faire mieux, d’aller plus haut, plus loin. La fête d’aujourd’hui nous conforte dans ce désir. Ce n’est pas un rêve, une vague aspiration. Le Christ nous tire vers le haut et par son Esprit, nous donnera les forces d’avancer, de monter.
Marcel Poirier, Commentaire des lectures de la fête de l’Ascension 2020
MONIQUE LORTIE. LE LANGAGE NOIR
Moi, j’y vois malheureusement les médias qui semblent avoir adopté, et répandu avec enthousiasme, tous ces mots noirs, sans une certaine petite gêne.
Monique Lortie, Éditorial du dimanche 24 mai 2020
« RESSAISIS-TOI, RESSUSCITE, CŒUR AFFLIGÉ ! »
Dans la situation sanitaire où nous survivons, le recueillement et la patience s’avèrent indispensables. Nul ne peut y échapper… Je me tourne vers J.S. Bach, spécialiste du recueillement et de la patience.
Édouard Shatov, Éditorial du dimanche 17 mai 2020
Rendre raison de l’espérance
L’appel qui nous est adressé en ce dimanche est simple et complexe à la fois : « Soyez prêts à tout moment à présenter une défense devant quiconque vous demande de rendre raison de l’espérance qui est en vous ; mais faites-le avec douceur et respect.» Ça veut dire quoi au juste ?
Édouard Shatov, Commentaire de l’Évangile du dimanche 17 mai 2020